Phantom of Aleppoville a été inspiré au chanteur et compositeur par une étude du psychanalyste Donald Winnicott. Ce dernier s’est penché sur les séquelles que gardent les enfants victimes de harcèlement, qui sont assez semblables à celles de jeunes réfugiés de guerre selon lui, bien que d’une toute autre ampleur. D’après le communiqué de presse, “Benjamin Clementine a […]
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Phantom of Aleppoville a été inspiré au chanteur et compositeur par une étude du psychanalyste Donald Winnicott. Ce dernier s’est penché sur les séquelles que gardent les enfants victimes de harcèlement, qui sont assez semblables à celles de jeunes réfugiés de guerre selon lui, bien que d’une toute autre ampleur. D’après le communiqué de presse, « Benjamin Clementine a choisi ce titre – la ‘petite ville d’Alep’ – comme un symbole représentant le lieu où les enfants sont sujets à de telles persécutions« . Le clip vidéo a été tourné par le photographe Craig McDean et réalisé par Masha Vasyukova.
L’artiste anglais est resté plutôt discret depuis la sortie de son premier album, At Least For Now, paru en 2015, bien qu’il ait collaboré avec Gorillaz cette année, signant un featuring élégant sur le titre Hallelujah Money. Il entamera prochainement une série de concerts, qui débutera avec son passage au festival We Love Green, à Paris, le 10 juin.
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