Un super naveton, dont je n’ai vu que la moitié (c’est déjà beaucoup trop), tellement il était horripilant. Sommet de ringardise belge, tendance gnangnan, avec une réalisation laborieuse et scolaire ? la cinéaste doit tirer la langue en travaillant ?, cette grossière chronique familiale située dans des années soixante reconstituées par un antiquaire, présente des […]
Un super naveton, dont je n’ai vu que la moitié (c’est déjà beaucoup trop), tellement il était horripilant. Sommet de ringardise belge, tendance gnangnan, avec une réalisation laborieuse et scolaire ? la cinéaste doit tirer la langue en travaillant ?, cette grossière chronique familiale située dans des années soixante reconstituées par un antiquaire, présente des personnages uniformément caricaturaux et des situations boulevardières noyées dans un sentimentalisme escroc. Comme chez Molière ou Marivaux, mais la cinéaste n’a pas le centième de leur génie et de leur vitalité. L’intrigue repose sur un quiproquo : en 1969, Sacha, 30 ans et des poussières, revient de Montréal où, au lieu de faire des études de médecine, comme le croient ses parents, elle est devenue photographe et, surtout, elle a contracté une maladie honteuse, l’homosexualité. Elle voudrait avouer l’intolérable vérité, mais on lui coupe constamment la parole. Une fois, ça va, mais dix fois c’est lassant
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