D’emblée, histoire de tâter le terrain, le “rapporteur” Cyrille Eldin prévient : “Je me suis collé un challenge impossible (…) rendre sympathique Alain Juppé.” Hier soir, pour sa séquence dans le Grand Journal, le trublion est allé à la rencontre du candidat déclaré à la primaire chez les Républicains pour l’élection présidentielle de 2017. Ca commence […]
<div style=
D'emblée, histoire de tâter le terrain, le "rapporteur" Cyrille Eldin prévient : « Je me suis collé un challenge impossible (…) rendre sympathique Alain Juppé. » Hier soir, pour sa séquence dans le Grand Journal, le trublion est allé à la rencontre du candidat déclaré à la primaire chez les Républicains pour l’élection présidentielle de 2017.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Ca commence plutôt mal dans les rues de Bordeaux. « Je ne peux vous parler, j’entends rien », balance le maire de la ville. Comme à son habitude, Cyrille Eldin ne lâche pas sa cible du jour, tente par tous les moyens de lui faire sortir un bon mot, sans succès cette fois-ci.
On peut regretter que les questions sérieuses et non dénuées de sens du journaliste (« Etes-vous d’accord avec Manuel Valls qui dit que la notion de gauche et de droite est dépassée et que l’on devrait plutôt opposer les progressistes aux conservateurs ») se noient dans une piteuse imitation de Nicolas Sarkozy. Cyrille Eldin a été la cible de critiques ces derniers jours, dénonçant sa supposée connivence avec la classe politique.
Mais, chassez le naturel… La séquence se termine malheureusement par un bide ou comme le décrit très justement Eldin : « Prendre un râteau avec Juppé, c’est pas facile. »
{"type":"Banniere-Basse"}
