Il y a quelque chose de lynchien chez Le Noiseur. D’abord, pour son amour de la route goudronnée qui défile sous deux phares. Et aussi, pour cette façon de mettre en scène la session live de son titre 24×36, tournée dans un bar aux stores baissés en plein jour, dans une ambiance à la fois étrange et follement excitante. Après […]
Il y a quelque chose de lynchien chez Le Noiseur. D’abord, pour son amour de la route goudronnée qui défile sous deux phares. Et aussi, pour cette façon de mettre en scène la session live de son titre 24×36, tournée dans un bar aux stores baissés en plein jour, dans une ambiance à la fois étrange et follement excitante.
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Après un long silence, on découvre Simon Campocasso, la voix grave, pleine de fumée de cigarette, l’œil cerné, la manière d’être qui transpire Gainsbourg. Contrairement à la version sur l’album, il est accompagné d’une jeune femme, une frange blonde ébouriffée. Le duo se lance des coups d’oeil appuyés. Et c’est charmant.
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