Ce qui est un peu dommage avec Beyoncé c’est qu’elle ne sait jamais quand il est grand temps de s’arrêter. Alors qu’elle vient de sortir un clip jouissif (“7/11”), Queen Bey a décidé de fêter l’anniversaire de la sortie de son dernier album (le 12 décembre 2013) en balançant un court-métrage en noir et blanc, […]
Ce qui est un peu dommage avec Beyoncé c’est qu’elle ne sait jamais quand il est grand temps de s’arrêter. Alors qu’elle vient de sortir un clip jouissif (« 7/11 »), Queen Bey a décidé de fêter l’anniversaire de la sortie de son dernier album (le 12 décembre 2013) en balançant un court-métrage en noir et blanc, extrêmement léché mais sentencieux au possible.
Des extraits de ses derniers clips alternent avec des « moments de vie » estampillés « sincérité » (Beyoncé et sa fille, Beyoncé et son mari Jay Z…), le tout rythmé par sa voix, grave, chaude, très agréable si elle ne déroulait pas un monologue en forme de bilan de sa carrière, de sa vie, de son bonheur. « Je souhaite parfois être anonyme, marcher dans la rue comme tout le monde. Avant d’être connue, j’étais une fille perchée sur des talons avec une guitare. Une fille qui voulait juste une belle vue sur la plage. Maintenant que je suis connue, c’est vraiment difficile de faire des choses normales. C’est la chose la plus difficile à abandonner. Mais ma mère m’a toujours dit d’être forte, de ne pas être une victime ». Ne dit-on pas que trop c’est trop?