“Fascinant dès les trois premières secondes, hypnotique, addictif, suave et toxique comme une fleur carnivore, L’Apollonide s’apparente à une serre ; la moiteur est tropicale, et partout la fièvre opère un progressif dérèglement des perceptions”. Voilà comment nous décrivions l’Apollonide lors de sa sortie en septembre 2011. Le “chef-d’oeuvre en bordel” de Bertrand Bonello est visible […]
« Fascinant dès les trois premières secondes, hypnotique, addictif, suave et toxique comme une fleur carnivore, L’Apollonide s’apparente à une serre ; la moiteur est tropicale, et partout la fièvre opère un progressif dérèglement des perceptions ». Voilà comment nous décrivions l’Apollonide lors de sa sortie en septembre 2011. Le « chef-d’oeuvre en bordel » de Bertrand Bonello est visible jusqu’au 3 décembre sur le site de replay d’Arte.
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