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Alors que sort fin novembre le nouveau film Pixar, Coco, Alexandre Vuillaume-Tylski propose, pour sa chronique dans le web-magazine d’Arte Blow Up, de revenir sur les fameux génériques du studio à la lampe.
De Toy Story à Wall-E en passant par Ratatouille ou Cars, Pixar a su démontrer son attention toute particulière aux génériques de début et de fin de ses films. Ils se caractérisent par des (auto)références, des faux bêtisiers, des propositions alternatives aux films, et un débordement de la fiction, qui semble ne plus être contrôlée par la production.
Alexandre Vuillaume-Tylski décortique aussi le contenu des génériques de fin, entre hommage à Steve Jobs, faire-part de naissances et fausses mentions qui rapprocherait les films d’animation des films traditionnels.
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