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Parmi les Transformers que l’on reconnaît au premier coup d’œil, il y a Optimus Prime (chef des gentils), Megatron (chef des méchants) et derrière eux Bumblebee, la timide voiture jaune, protectrice de Shia LaBoeuf dans les épopées pyro-robotiques tournées par Michael Bay. Le Transformer le plus intime de la saga s’apprête à avoir son propre film, lequel dévoilera ses origines lors de son arrivée sur Terre en 1987 et sa rencontre avec une adolescente du nom de Charlie, qui va le remettre d’aplomb (avant de découvrir que ce n’est pas une voiture comme les autres). Le robot qui, avant d’être la Chevrelot Camaro ultra-moderne du premier volet, n’était à l’époque qu’une Coccinelle poussiéreuse va alors déployer ses skills de combat rapprochés face à trois Decepticons venus (encore) mettre fin à notre monde.
Si Bumblebee sent effectivement le réchauffé, il ne faudrait pas sous-estimer les autres skills de son auteur qui n’est autre que Travis Knight, auteur d’un premier long-métrage remarqué – le touchant et épique Kubo et l’armure magique – et adepte régulier du cinéma d’animation puisqu’il a notamment été l’un des animateurs de Coraline, véritable chef-d’œuvre. Suffisant pour mettre de côté les lubies pyrotechniques de Michael Bay ? Réponse le 26 décembre prochain.
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