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L’année dernière, la France fêtait les dix ans de l’explosion de l’un de ses derniers grands mouvements culturels et populaires : la tecktonik. Une musique, une danse et un look rapidement mis au ban, presque aussitôt après être devenus connus.
Dans un reportage vidéo publié ce lundi, Nova s’est interrogé sur la tecktonik aujourd’hui. Revenant sur l’épopée du Metropolis, le fameux club au-dessus de l’autoroute à Rungis, le sujet s’attache à comprendre ce que le mouvement à l’aigle fluo est devenu en 2018.
« Le tecktonik, c’était juste une marque de soirée, explique ainsi l’une des personnes interrogées. Merci à eux de nous avoir fait connaître d’autres types de son tels que le hard style, le jump style, etc. mais voilà : ce n’est pas la culture à 100%. On va dire, c’est peut-être 20 à 30% de notre culture. » Ainsi, c’est toute une culture, la danse électro, qui lui a subsisté à la marge.
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