La ressortie de Spartacus est une belle occasion pour (re)visiter le labyrinthe kubrickien, voyage auquel Blow Up nous a déjà convié par le passé. Sept minutes de symphonie visuelle ne sont pas de trop pour faire le tour du Kubrick’s Cube, de sa géométrie vertigineuse et des émotions qui s’y concentrent.
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La ressortie de Spartacus est une belle occasion pour (re)visiter le labyrinthe kubrickien, voyage auquel Blow Up nous a déjà convié par le passé. Sept minutes de symphonie visuelle ne sont pas de trop pour faire le tour du Kubrick’s Cube, de sa géométrie vertigineuse et des émotions qui s’y concentrent.
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