On a lu ça pour vous et on vous le conseille.
“Pour Marella, 22 ans, c’est la douleur justement, qui a joué un rôle dans cette décision, au même titre que le féminisme. ‘Mes règles me rendaient hypersensible et jouaient beaucoup sur mon moral. Je n’avais envie de rien. J’avais aussi des spasmes douloureux au ventre et j’étais complètement mal sur le plan digestif’’, se souvient la jeune femme.
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‘Je sais qu’il existe des traitements pour les douleurs des règles mais, selon moi, cela renvoie à l’idée qu’elles sont une maladie, une chose contre laquelle on ne peut rien et pour laquelle il est normal de souffrir, ajoute Marella. Je commençais à vivre mes règles comme une terrible injustice. J’ai compris qu’il s’agissait d’un choix féministe et que (les) refuser, c’était aussi une manière de refuser une dépendance. Ce n’est pas rien, d’être ‘inapte’ pendant quelques jours tous les mois.’ La jeune femme prend la pilule en continu depuis ses 18 ans.”
Elles reviennent tous les mois et ce, pendant pas mal d’années: les règles sont, pour la plupart d’entre nous, un (très) mauvais moment à passer. Certaines femmes ont décidé d’en finir avec cette contrainte mensuelle souvent accompagnée de souffrances, de fatigue et de baisse de moral. Sur le site de RTL, elles témoignent de leur volonté de ne plus avoir à subir leurs règles alors que cette pratique est encore auréolée d’un tabou et victime de l’idée reçue selon laquelle c’est mauvais pour la santé.
À lire le plus vite possible sur le site de RTL.
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