En amont de la journée internationale des droits des femmes, Cheek Magazine, Facebook et The Family ont réuni des femmes qui marquent leur domaine et inspirent la génération Y. Lors de cette première édition de #Sisterhood, on a immortalisé plusieurs d’entre elles.
Elles ont monté leur boîte, occupent des postes clef dans des entreprises ou sont encore étudiantes: quel que soit leur profil, elles étaient nombreuses à venir célébrer l’audace et l’entraide au féminin pour la première édition de #Sisterhood. Sur le stand de Cheek, armées de notre smartphone, nous avons immortalisé certaines d’entre elles et leur avons demandé ce que le mot “sisterhood” (“sororité” en VF), signifiait pour elles.
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Annabelle Daniel, fondatrice de ZoomOn, 38 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est la chef que je n’ai jamais eue: quelqu’un de bienveillant qui me donne des conseils et confiance en moi et qui m’ouvre son réseau et me pousse dans ma carrière. C’est aussi la chef que j’aimerais être.”
Sophie Cornay, fondatrice de The Reporthair, 26 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Pour moi, sisterhood, c’est l’entraide, le partage, profiter de ce que chacune peut apporter, avoir des liens privilégiés par sa communauté et ses rencontres. C’est faciliter son développement.”
Juana Brachet de Catheu, fondatrice de Development Results, 39 ans
© Mathilde Delhaume pour Cheek Magazine
“Sisterhood pour moi, ce n’est pas spécialement la solidarité car les filles n’ont pas à être plus sympas entre elles qu’avec les mecs. Mais ce qui est pertinent c’est ces lieux de partage d’expériences pour mieux avancer ensemble”.
Hélène Segol, productrice chez Wanda Productions, 36 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est une communauté de bienveillance entre femmes.”
Clémentine Buren, directrice de la communication chez Wanda Productions, 30 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est une force féminine pour avancer dans nos vies pro et perso, et surtout bien rigoler”.
Rebecca Adegoke, étudiante, 21 ans. Esen D., étudiante, 22 ans. Stephanie Jean-Jacques, étudiante, 24 ans.
© Mathilde Delhaume pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour nous, c’est le féminisme, la solidarité et le partage d’expérience”.
Victoria Dominguez del Angel, CEO de ABgenomica, 42 ans.
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est un moyen de rencontrer d’autres femmes avec les mêmes intérêts que moi et surtout de mieux communiquer pour faire changer les choses et faire progresser l’égalité.”
Merieme Alaoui, journaliste, 32 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est insister sur le fait que la place des femmes n’est, malgré tous nos efforts, pas encore ce qu’elle devrait être et qu’il faut se serrer les coudes! Ce n’est pas un choix mais une obligation.”
Annabelle Roberts, fondatrice de l’agence Annabelle Roberts, 32 ans (et Kevin, 3 ans, associé)
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est sisters helping sisters, c’est tout”.
Annabelle Tavenaux, partnership manager chez Polabox, 25 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est montrer que le combat du féminisme ne fait que commencer.”
Marine Sorato, responsable de l’acquisition digitale chez Polabox, 24 ans
© Faustine Kopiejwski pour Cheek Magazine
“Sisterhood, pour moi, c’est avoir de l’audace et sauver les hommes”.
Par Mathilde Delhaume et Faustine Kopiejwski
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