On a lu pour vous cet article de Rue89 sur la mort foetale in utero et le refus de la césarienne aux femmes dans ce cas-là et on vous le conseille fortement.
“‘Je pensais donner la vie, mais j’ai donné la mort.’” Quand elle prononce ces mots, la gorge de Céline se serre. Dans un murmure, elle revient sur cette souffrance qui l’étreint depuis trois mois. Des insomnies, un corps qu’elle peine à rééduquer et surtout une immense tristesse. Elle sait que ce ‘vide ne se comblera jamais’. En juillet dernier, alors qu’elle est enceinte de huit mois, le cœur du bébé de cette Bordelaise de 40 ans a cessé de battre. Ce drame porte un nom: mort fœtale in utero. Il survient dans près de 2% des grossesses dans le monde et dans 5 naissances pour 1.000 dans les pays à haut revenu.
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Après le choc de l’annonce, Céline apprend qu’elle doit accoucher par voie basse. ‘C’est le protocole’, lui assène-t-on. Perplexe, elle rétorque qu’elle a trois enfants et qu’ils sont tous nés par césarienne. À cause de son utérus multi-cicatriciel, l’opération était programmée. Pourtant, l’équipe médicale campe sur ses positions. Malgré l’absence de consentement de la patiente, le protocole est appliqué et “l’extraction” vire au cauchemar.”
Dans cet article de Rue89, la journaliste Louise Auvitu s’intéresse à la mort foetale in utero et se demande pourquoi l’accouchement par voie basse est alors systématiquement préconisé, alors qu’une césarienne serait sans doute moins difficile psychologiquement. Un sujet également abordé dans le nouvel épisode du podcast Bliss Stories que vous pouvez écouter ici.
À lire le plus rapidement possible sur le site de Rue89.
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