Pensé pour explorer les sujets intimes généralement passés sous silence, Down There, littéralement “en bas”, s’attaque à l’endométriose, au porno éthique, aux règles, à la représentation de la vulve, à la ménopause ou encore à la manière dont les hommes transgenres gèrent leurs règles au cours de leur transition. “Il y a certains sujets dont nous ne parlons pas assez, à commencer par notre corps. C’est pour cela que nous avons lancé Down There, une série de récits où les femmes, trans, non-binaires, partagent leurs expériences”, explique sur son site l’équipe américiaine de Down There.
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Dernier témoignage en date, celui de Hilde Atalanta, illustratrice à l’origine de The Vulva Gallery, site où elle dessine des vulves de toutes les tailles, couleurs, formes, pour rappeler que “toutes les vulves sont différentes”. Dans ce papier fleuve, elle aborde le manque d’éducation sexuelle et la sous-représentation du sexe féminin, deux facteurs qui poussent de plus en plus de jeunes femmes à complexer sur l’apparence de leur vulve et à se tourner vers une labiaplastie, opération de chirurgie esthétique qui vise à remodeler les lèvres. Un témoignage éclairé qui en entraînera sans doute d’autres, à découvrir sur ce jeune site très prometteur, doté d’un compte Insta très esthétique que l’on suit déjà avec beaucoup d’intérêt.
https://www.instagram.com/wearedownthere/
Audrey Renault
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