On a lu cet article de Nadia Daam sur Slate pour vous et on vous le conseille.
“Voilà. Ça y est, j’en ai marre. Je suis épuisée. Et je suis triste. Et j’ai la rage. Vous savez, celle qui fait baver les féministes en quête de prépuces à déchiqueter avec leurs canines aiguisées de rombières bourrées de poils et de seum. Par opposition aux féministes-chatons, celles qui butinent joyeusement la cause des femmes entre un blanchiment des dents et deux guilis aux hommes parce que #Notallmen. Ca vous paraît stéréotypé hein? C’est pourtant exactement là où en en est.”
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Ainsi commence le papier coup de gueule posté par la journaliste Nadia Daam sur Slate, en réaction à un édito paru dans le magazine Glamour et intitulé On peut être blonde et féministe. Ce dernier, signé de la rédactrice en chef de Glamour Céline Perruche (vous pouvez le lire sur le site de Slate, il y est embeddé), oppose un féminisme trop vindicatif à un féminisme “dénué d’agressivité”, érigé en modèle à suivre. Très remontée dans son article -en même temps, il y a de quoi-, Nadia Daam démonte point par point le discours de la rédac chef de Glamour. En écrivant ce genre de papiers, conclut-elle, ces femmes “ne font en réalité que se soumettre au fondement même de la domination masculine; diviser les femmes et employer certaines d’entre elles pour légitimer la diabolisation du féminisme.”
A lire le plus vite possible sur Slate.
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