On a lu pour vous cet article sur l’angoisse générée par les week-ends et leur lot d’activités trop nombreuses et on vous le conseille.
“‘Je ne fais rien ce week-end’ is the new ‘Je me couche tôt ce soir’. Prévoir de ne rien faire le week-end, c’est comme prévoir de se coucher tôt, c’est très difficile, voire impossible, du moins en ce qui me concerne. En général, dès le début de la semaine, les cases samedi et dimanche de mon agenda sont déjà remplies de plans, de missions, de sorties. Des soirées, des brunchs, des anniversaires (parfois deux la même soirée, horrible), des expos à voir (souvent c’est le dernier jour du coup il faut il y aller absolument #fomo), des déjeuners de familles. Sans parler de tout mon agenda ‘mental’: appeler maman, aller au marché, récupérer des trucs au pressing, passer l’aspi, trier mon placard, mettre un numéro sur cette putain de chaise cassée pour les encombrants… L’angoisse.
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Heureusement, le temps et l’expérience m’ont montré que je ne pouvais pas tout faire, du coup je sais d’avance que je ne pourrai pas aller à ces deux anniv’ et être attending à ce brunch -dans les faits parce que parfois les activités se chevauchent- mais aussi parce que je n’en aurai pas l’énergie.”
Déjeuners de famille, brunchs entre potes, apéros de dernière minute, concerts, etc.: si vous aussi, vos week-ends ressemblent à une accumulation de rendez-vous que vous ne pouvez humainement pas honorer, ce billet d’Anaïs Delcroix, publié sur l’excellent Retard Magazine, devrait forcément vous parler.
À lire le plus vite possible sur le site de Retard Magazine.
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