On a lu ça pour vous et on vous le conseille.
“‘J’ai discuté avec des élus de ce qu’il s’est passé hier et des déclarations des femmes qui ont accepté de parler à visage découvert et bien, malgré cela, j’ai été accueillie par un ‘Quand je te vois, j’ai envie de faire une Baupin’ (sic). Je ne sais pas exactement ce que cela veut dire, je n’ai pas cherché à en savoir plus…, confie-t-elle. Dans la foulée, un autre élu a enchaîné, voulant être dans la surenchère par rapport à la première phrase, en faisant allusion à mon nom de famille a dit ‘Quand on te voit Aurore, on a le bâton de berger’ (sic).’
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
‘Dans ces cas-là, vous êtes un peu sidérés…, ajoute-t-elle. C’est assez pathétique mais surtout vous vous trouvez assez bête. Parce que quand cela vous arrive, vous ne savez pas vraiment comment réagir. Instinctivement vous vous sentez un peu coupable. Vous vous dites que vous n’auriez peut-être pas dû vous habiller d’une certaine façon. Vous vous dites aussi qu’il vaut mieux en rire parce que sinon cela vous met en marge car tout cela est, malheureusement, tellement habituel en politique, mais pas seulement.”
Alors qu’Aurore Bergé, députée Les Républicains des Yvelines, a assisté hier soir au conseil d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et abordé l’affaire Denis Baupin, la jeune femme politique y a été victime de harcèlement sexuel.
À lire le plus vite possible sur le site de RMC.
{"type":"Banniere-Basse"}