On a lu pour vous cet article du Huffington Post sur le rapport des femmes de la génération Y avec leurs poils et on vous le conseille fortement.
“L’acceptation de la pilosité féminine -ou, du moins, l’idée de cette pilosité- n’a jamais été aussi populaire. Car si l’on n’est pas une star, montrer ses poils est bien moins sexy que sur Instagram ou dans des campagnes virales. S’épiler est un choix personnel, mais il soulève des questions identitaires, sexuelles et politiques, et fait naître chez certaines des sentiments contradictoires.
Alors que des femmes souscrivent à l’idée que l’épilation devrait être facultative, toutes les filles de la génération Y ne jettent pas leurs rasoirs en masse. Beaucoup sont encore réticentes à l’idée de tout laisser pousser face à la stigmatisation persistante qui a toujours accompagné la pilosité chez les femmes. […]
Les poils sous les aisselles peuvent être acceptables ou même sexy sur un mannequin à la beauté classique dans un magazine, mais dans la vie réelle, beaucoup de femmes font l’objet de critiques acerbes, de regards insistants et même de menaces de mort pour avoir osé afficher leurs poils de jambes, sous les aisselles ou pubiens, encore peu visibles même chez les célébrités pro-pilosité.”
Dans cet article publié sur le site du Huffington Post, la journaliste Sofia Barret-Ibarria décortique le rapport compliqué des femmes millennials à leurs poils. Si, d’un côté, la pilosité n’a jamais été autant revendiquée, s’érigeant même en symbole féministe, d’un autre côté, dans la pratique et la vie de tous les jours, laisser pousser ses poils n’est pas si simple.
À lire le plus rapidement possible sur le site du Huffington Post.