On a lu pour vous cet article qui analyse les méthodes du site de seconde main Vinted et on vous le recommande.
“Vous buvez un verre avec votre belle-sœur, quand vous remarquez son nouveau blouson. ‘Je l’ai trouvé sur Vinted’, vous répond-elle fièrement, avant d’ajouter, sourire en coin: ‘5 euros, pas plus!’ Depuis quelques mois, elle ne jure plus que par cette friperie géante en ligne. Et elle n’est pas la seule, puisque la plateforme, née en 2008 en Lituanie et arrivée en France en 2013, fédère une communauté de vingt-et-un millions de personnes à travers le monde. Avec huit millions d’adeptes, l’Hexagone se place d’ailleurs en tête du marché. […] En échangeant avec les Vinties, il est facile de saisir cette fièvre de l’achat. ‘Dans un premier temps, j’utilisais Vinted pour faire un peu de place dans mes placards et vendre quelques articles que je ne porte plus, relate Marie Michaud, étudiante de 20 ans. Mais forcément, avec toutes les tentations, on renouvelle sa garde-robe.’ Pour fidéliser son public, la friperie géante redouble de stratégies. Des lots sont notamment proposés, qui permettent de bénéficier de 30%, 40% voire 50% de réduction sur les produits. ‘C’est un gouffre’, rit Brenda Blanchet, qui reconnaît ‘être régulièrement tentée par les bonnes affaires’.”
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Dans un article intitulé Vinted, quand l’économie circulaire ne tourne pas rond, le site korii. enquête sur la plateforme de vente de vêtements d’occasion et démontre pourquoi, derrière ses arguments en faveur du recyclage, la marque est en fait “l’incarnation même de la fast fashion”.
A lire le plus vite possible sur korii..
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