« Le chef-d’œuvre inconnu » d’Hitchcock, pour citer le titre d’un article de Jean Domarchi paru dans les Cahiers du cinéma, est l’un de ses rares films en costumes (nous sommes en 1835, en Australie), proche du romantisme noir, dans lequel un couple est rongé par un lourd secret. Cousin fiévreux de Rebecca et des Enchaînés, mal […]
« Le chef-d’œuvre inconnu » d’Hitchcock, pour citer le titre d’un article de Jean Domarchi paru dans les Cahiers du cinéma, est l’un de ses rares films en costumes (nous sommes en 1835, en Australie), proche du romantisme noir, dans lequel un couple est rongé par un lourd secret. Cousin fiévreux de Rebecca et des Enchaînés, mal aimé par la critique, le public et surtout Hitchcock lui-même, Les Amants du Capricorne reste avec ses défauts de scénario un film admirable, dans lequel le cinéaste touche à la parfaite maîtrise de l’art du plan-séquence, exhibé dans son film précédent, La Corde.
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