A une époque où le politiquement correct n’existe pas encore, Ferreri pourfend de façon provocatrice l’aliénation de la femme et les différents types d’esclavage de notre société. On retrouve non sans surprise une Catherine Deneuve enchaînée, littéralement traitée comme sa chienne par un peintre (Mastroianni) auprès duquel elle a trouvé refuge. Reprenez un petit coup […]
A une époque où le politiquement correct n’existe pas encore, Ferreri pourfend de façon provocatrice l’aliénation de la femme et les différents types d’esclavage de notre société. On retrouve non sans surprise une Catherine Deneuve enchaînée, littéralement traitée comme sa chienne par un peintre (Mastroianni) auprès duquel elle a trouvé refuge. Reprenez un petit coup de Ferreri ! Rien de tel pour vous décaper les méninges. Même si c’est un contresens, on peut toujours prendre ce film au premier degré et y voir une œuvre SM.
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