Philippe Katerine dans toute la France, Peter Friedl à Nîmes et la ressortie d’un des chefs-d’œuvre de Federico Fellini en version restaurée.
Philippe Katerine
Auteur de l’album français de l’année, le Vendéen est parti en tournée automnale pour interpréter ses mémorables Confessions. Entouré d’un tout nouveau groupe (avec notamment le saxophoniste Adrien Soleiman), Philippe Katerine s’arrête notamment pour deux soirs à guichets fermés dans la capitale, quatre mois avant un Zénith où il n’a plus joué depuis le raz-de-marée imprévu de Robots après tout (2005). Avec son répertoire aussi riche qu’inclassable, l’artiste sera-t-il rejoint par des invité.e.s pour entonner ses tubes ? Autant en être dès ses concerts immanquables de décembre pour le savoir.
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Musiques Le 11 décembre, Toulouse (Bikini), le 12 décembre, Lyon (Transbordeur), le 13 décembre, Marseille (CEPAC Silo), les 16 et 17 décembre, Paris (La Cigale)
L’artiste autrichien, né en 1960 et installé à Berlin, ne se limite pas à un sujet spécifique. A travers un travail sur la narration et la théâtralité, il déploie au Carré d’Art à Nîmes une réflexion sur les racines historiques des concepts de frontière, de migration et de diaspora. Ses vidéos, maquettes architecturales et théâtres de marionnettes déclinent les multiples facettes d’une modernité plurielle.
ArtsTeatro de Peter Friedl, jusqu’au 1er mars, Carré d’Art, Nîmes
En 1976, Federico Fellini s’attaque à l’un des mythes du XVIIIe siècle : Casanova, le plus grand séducteur (autoproclamé) de l’histoire. Une adaptation très libre et fantasmée des célèbres mémoires du Vénitien, où le cinéaste italien s’acharne à ridiculiser son personnage principal (joué par Donald Sutherland) dans une Sérénissime crépusculaire (totalement reconstruite en studio), et présentée aujourd’hui en version restaurée.
CinémasLe Casanova de Fellini de Federico Fellini (E.-U., It., 1975, 2 h 34), en salle