Venant après des chefs-d’œuvre comme La Dolce vita et 8 et demi, le premier long métrage en couleurs du cinéaste est généralement mal considéré, taxé de légèreté, voire d’inconsistance. Pourtant, c’est peut-être justement dans ce côté onirique et diaphane que réside le charme de cette œuvre gentiment dingue sur les troubles qui assaillent une fofolle […]
Venant après des chefs-d’œuvre comme La Dolce vita et 8 et demi, le premier long métrage en couleurs du cinéaste est généralement mal considéré, taxé de légèreté, voire d’inconsistance. Pourtant, c’est peut-être justement dans ce côté onirique et diaphane que réside le charme de cette œuvre gentiment dingue sur les troubles qui assaillent une fofolle obsédée par les aventures extraconjugales de son mari.
Atouts principaux : le soleil, la couleur, Giulietta Masina en vieille petite fille,
et surtout, une des partitions les plus euphorisantes de l’insurpassable et insurpassé Nino Rota.
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