L’essentiel de cette fantaisie censée évoquer la relation tapageuse de George Sand et Frédéric Chopin se résume à la couleur indiquée dans le titre. Une des teintes fétiches dont Zulawski, ennemi féroce du naturel, nimbe une bonne partie de ses films. En fait, peu importe le sujet : chorégraphe qui s’ignore (ou qui ne s’ignore […]
L’essentiel de cette fantaisie censée évoquer la relation tapageuse de George Sand et Frédéric Chopin se résume à la couleur indiquée dans le titre. Une des teintes fétiches dont Zulawski, ennemi féroce du naturel, nimbe une bonne partie de ses films.
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En fait, peu importe le sujet : chorégraphe qui s’ignore (ou qui ne s’ignore pas), Zulawski fait à peu près le même film depuis vingt ans.
Des scènes d’accouplement hystérique, des dingues qui galopent en hurlant dans des couloirs, la caméra qui en fait autant. Du Doillon amphétaminé.
Très fatigant.
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