Justes dans les mots, fragiles dans les notes, deux Français s’envolent avec leurs premiers morceaux.
Aussi doux qu’un début d’hiver, le premier ep de Blondino – paire charmante menée par Tiphaine Lozupone et Jean-Christophe Ortega – modernise la chanson française, à la manière de Bertrand Belin. De L’amour n’est-il, pierre précise en suspension, sensiblement electro, à Oslo, titre acoustique au texte rêche, propre à Alain Bashung, le binôme déploie une carte musicale variée, suspendue aux branches d’un arbre généalogique feuillu : un héritage digéré par ce duo libre et prometteur.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}