Ils convoquent le blues du désert africain pour un résultat à faisceaux multiples.
Les quatre Norvégiens d’Atlanter ont mis trois ans à enregistrer Jewels of Crime, album concept serti de pierres précieuses. Depuis ses steppes norvégiennes, le groupe convoque le vent du désert africain pour un chaud et froid unique qui n’a pas peur d’allier blues des sables et krautrock allemand.
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Pour ce faire, Atlanter a invité à Oslo les touaregs maliens d’Imarhan Mali et Sadam, le chanteur de Tinariwen. L’album projette de jolis éclats de lumière (Let it Fade), avec notamment des sorties de morceaux extatiques (Human vs Human), mais aussi quelques rayons un peu plus faibles qui se perdent dans l’obscurité. C’est là le pari beau mais risqué du groupe, “des gens avec des approches et des goûts musicaux différents qui aiment jouer ensemble”.
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