Après le rockabilly et le punk, le songwriter américain explore la synth-pop ténébreuse.
Depuis son antre en Alabama, Dan Sartain n’en finit pas de composer, en puisant son inspiration dans le blues, le rockabilly, le surf ou le garage. A la fois rageurs et romantiques, les hymnes de cette petite frappe au cœur tendre nous poursuivent depuis une quinzaine d’années. Après un exercice de style façon punk Ramones il y a quatre ans, on le retrouve métamorphosé sur Century Plaza, sous les traits d’un sombre crooner synth-pop.
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Composé sur iPad avec GarageBand, ce nouvel album revisite l’esthétique du Depeche Mode des années 80 ou du Kavinsky de Drive. Dans une ambiance nocturne éclairée de néons, des beats glaciaux portent ces huit morceaux ténébreux, parmi lesquels une reprise possédée d’Alan Vega et, en guise d’ouverture, une autoreprise étonnante.
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