Souvent trop théorique, un film qui passe à côté de son sujet.
Il y avait quelque chose d’ambitieux de la part de Jean-Marc Barr et Pascal Arnold à vouloir faire
un film sur la sexualité en s’interrogeant sur la démarcation avec les codes du porno.
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Fausse bonne question à laquelle ils n’ont visiblement aucun élément de réponse.
Une légèreté dans le traitement du problème qui se ressent jusque dans son esthétique, crânement fébrile, en numérique, avec la même intention politique qui caractérisait les films Dogma il y a une quinzaine d’années.
On aimerait pouvoir saluer la visée exhaustive du traitement des sexualités (première fois, masturbation, triolisme, homosexualité, prostitution, addiction…) qui auraient lieu au sein d’une famille, mais cette approche théorique a peut-être fait passer les auteurs à côté de leur sujet et on est un peu gêné pour eux, comme on l’est en regardant ce film ou qu’on le serait en voyant nos parents baiser.
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