Une diva de l’électro réduit la house à son esclave personnel
Rien à voir avec Lenny Kravitz : on regarde en avant ici. On regarde aussi vers l’Est, pour une fois : c’est de Moscou que vient cette nouvelle diva de l’électro, qui réduit la house à son esclave personnel et sexuel, entièrement au service et sévices de sa voix de maîtresse. La basse, particulièrement, est sa bitch, hypnotisée et soumise. Son premier album vient de sortir.
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