Second volet, un peu faiblard, des péripéties de Flash McQueen.
BA…
Précédé d’un court métrage qui donne sa chance à un jeune réalisateur, Pixar a ici choisi de recycler les personnages de Toy Story 3 (le hit Ken et Barbie) pour une comptine anecdotique.
Ce prologue est à l’image de Cars 2 : le plaisir de prolonger les aventures des personnages se mue en addiction et devient facilité. Plaisant par moment, Cars 2 est un mélange bizarre de James Bond, de 24 Heures chrono et de tuning. Mais alors que l’idéologie n’est qu’un prétexte à la rêverie dans les Pixar movies, un discours environnemental prend ici le pas sur les personnages et le récit, comme s’il y avait une sorte de mauvaise conscience à faire d’un objet polluant un véritable héros.