Un pensum doloriste.
Le destin dramatique de quatre femmes iraniennes maltraitées par les hommes, filmées bellement, avec plein de ralentis et d’images numériques retouchées en noir et blanc et rouge.
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Très loin de nous l’idée de nous moquer du sort réservé aux femmes dans bon nombre de parties du globe (bien au contraire), mais rien ne justifie qu’on s’en régale pendant une heure et demie avec un plaisir esthétique approchant le gênant à force de complaisance doloriste.
Tout le cinéma qu’on déteste : esthétisant, prétentieux, ennuyeux, ostensiblement “poétique” (c’est-à-dire tout sauf poétique).
Jean-Baptiste Morain
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