Martin Magiela à Lafayette Anticipations, l’ouverture de la Bourse de Commerce-Pinault Collection, Anne Imhof au Palais de Tokyo…
Bourse de Commerce-Pinault Collection
Pour lui permettre d’accueillir la collection de François Pinault, l’architecte Tadao Ando a doté le bâtiment classé de la Bourse de Commerce d’un cylindre en béton central découpant, depuis sa rotonde centrale, les espaces du nouveau musée parisien. Dédié à l’art des années 1960 à nos jours, celui-ci proposera une programmation d’expositions et d’événements à travers une quinzaine de projets par an.
Première saison de la Bourse de Commerce-Pinault Collection, à partir du 23 janvier, Paris
Natures mortes, carte blanche à Anne Imhof
Dans la continuité des “cartes blanches” au Palais de Tokyo initiées en 2013, l’artiste allemande Anne Imhof investit la totalité des espaces pour y dessiner une expérience totale mêlant arts, musique, club culture et architecture. Lauréate du Lion d’or à la biennale de Venise en 2017 et adulée depuis comme une figure du renouveau de la performance, il s’agit de sa première exposition institutionnelle en France.
Natures mortes, carte blanche à Anne Imhof, à partir du mois d’avril, Palais de Tokyo, Paris
Martin Margiela
On connaît le créateur belge pour ses collections révolutionnaires, empreintes d’une approche conceptuelle développée depuis Paris à partir de la fin des années 1980. Retiré du monde de la mode depuis 2008, Martin Margiela se consacre désormais exclusivement à l’art, un versant de son œuvre totale jusqu’ici gardé secret, que l’on découvrira à travers un ensemble d’œuvres, de la peinture à la sculpture.
Martin Margiela, du 15 avril au 25 juillet, Lafayette Anticipations, Paris
Elles font l’abstraction – Une autre histoire de l’abstraction au 20e siècle
Dans la série des grandes fresques de relecture de l’histoire de l’art, le Centre Pompidou se penche sur une histoire plurielle et pluridisciplinaire de l’abstraction à travers une centaine d’artistes femmes, dont l’apport décisif aura jusqu’alors été éclipsé, au même titre que les modernités plurielles dont elles participèrent, celles d’Amérique latine, du Moyen-Orient et de l’Asie.
Elles font l’abstraction – Une autre histoire de l’abstraction au 20e siècle, du 5 mai au 23 août, Centre Pompidou, Paris
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