Ce que Les Inrocks aiment boire en cette fin d’été. Une sélection interservices de petits secrets à partager.
Nelly Kaprièlian
“Très franchement, je n’y connais pas grand-chose en vin. Mais quand j’ai goûté le saint-pourçain rougedu restaurant (justement nommé) Le Bon Saint Pourçain, à Paris, j’ai su qu’il était exceptionnel. Une robe d’un velours grenat moiré, un parfum subtilement fumé, un goût d’encens puis de fruits noirs et de bois.Leur blanc vaut aussi le détour.”
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Valérie Perraudin
“Près de Sélestat, au cœur de l’Alsace, se trouve le domaine Hubert Meyer,à Blienschwiller. Vignerons depuis dix générations, les propriétaires sont toujours restés fidèles aux savoir-faire traditionnels. Ce sylvaner est une perle. La bouche est riche, explosive, marquée par l’abricot et soutenue par des arômes de pain d’épice.”
Pierre Siankowski
“Le côtes-du-rhône-villages. Plus qu’un vin, une expérience et une découverte de la vallée du Rhône, cette terre discrète mais puissante qui a fait de son histoire une garantie de qualité. Encore !”
Alice Pfeiffer
“Il s’agit là d’un vin rosé pétillant naturel dit ‘Pet’Nat’. La réputation hyperféminine de ce genre de vin, souvent suivie d’un hurlement de tout connaisseur (ou bobo parisien) lorsque j’y ajoute des glaçons,me fait rire. La fabrique du genre serait même en marche avec l’alcool ?En buvant fièrement une piscine de rosé qui pétille, j’ai donc l’impression de manifester pour un féminisme œnologique. Et si on m’engueule, je menace d’ajouter du sirop de pêche.”
Laurent Malet
“Le Jaja de Jau syrah rouge(vin Pays d’Oc) recèle tout le soleil du Roussillon dans un vin primesautier épicé-fruité, parfait pour relever quelque viande rouge. Produit au château de Jau, qui abrite un espace d’art contemporain depuis 1977, il bénéficie en outre d’une étiquette signée par Ben.”
« Le naturel revient au goulot », un dossier spécial à retrouver ici.
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