Remixeur recherché par tout un pan du rock grassouillet britannique (Stereophonics, Manic Street Preachers), auquel ses beats secs offrent de spectaculaires cures de modestie, Deadly Avenger se paie un rêve de gosse : une BO ambitieuse et ténébreuse. Enregistré avec une vaste formation symphonique, la production suave d’Howie B et des beats pervers, Deep Red […]
Remixeur recherché par tout un pan du rock grassouillet britannique (Stereophonics, Manic Street Preachers), auquel ses beats secs offrent de spectaculaires cures de modestie, Deadly Avenger se paie un rêve de gosse : une BO ambitieuse et ténébreuse.
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Enregistré avec une vaste formation symphonique, la production suave d’Howie B et des beats pervers, Deep Red rend hommage aussi bien à Herrmann qu’à Melvin Van Peebles, aux films noirs qu’au cinéma black, avec une audace et une férocité qui décoifferaient sérieusement les partitions trop bien peignées de Craig Armstrong. Cronenberg n’a plus qu’à écrire le film, angoissant et complexe, pour l’accompagner.
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