Un premier album (One Mississippi) effervescent et six ans de silence ? six ans de réflexion’ La bio de Brendan Benson pourrait se résumer à ça. Limogé par sa précédente maison de disques pour cause de ventes insuffisantes, il aura mis tout ce temps pour se refaire une santé et reprendre les choses à peu […]
Un premier album (One Mississippi) effervescent et six ans de silence ? six ans de réflexion’ La bio de Brendan Benson pourrait se résumer à ça. Limogé par sa précédente maison de disques pour cause de ventes insuffisantes, il aura mis tout ce temps pour se refaire une santé et reprendre les choses à peu près là où il les avait laissées.
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Par « choses », on entend un enthousiasme mélodique intact, doublé d’une sacrée vitalité. Carillonnant de guitares bubble-gum et vrombissant d’électronique préhistorique, Lapalco, en partie coréalisé par Jason Falkner (compositeur sous estimé et homme à tout faire d’Air), est un grand disque de power-pop, assombri çà et là par l’humeur mélancolique de son auteur. Ce qui, tout compte fait, l’apparente assez à Big Star. Qui s’en plaindra ?
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