[25 ans d’Inrockuptibles hebdo] Vingt-cinq ans d’expositions, d’installations et de vidéos sélectionnées par notre rédaction.
Produire de l’objet, produire pour durer n’aura pas été la préoccupation majeure du quart de siècle qui s’achève, encapsulé entre le prolongement de l’art dit relationnel, l’arrivée des réseaux sociaux dont les artistes feront un nouveau médium et le déboulonnage des canons hérités. Or c’est précisément ce qui rend la période si précieuse : ses chefs-d’œuvre ont présence ténue, étrange et non-assignable, des moments de transition qui scandent la fin des évidences.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
The Atlas Group de Walid Raad (1989-2004)
Fiorucci Made Me Hardcore de Mark Leckey (1999)
No Ghost Just a Shell 28 œuvres de 18 artistes impulsées par Philippe Parreno et Pierre Huyghe (1999-2002)
The Battle of Orgreave de Jeremy Deller (2001)
The Weather Project d’Olafur Eliasson (2003)
Musée précaire Albinet de Thomas Hirschhorn (2004)
Kempinski de Neïl Beloufa (2007)
RMB City de Cao Fei (2007-2011)
This Progress de Tino Sehgal (2010)
DIS Magazine de Lauren Boyle, Solomon Chase, Marco Roso et David Toro (2010-2017)
Untilled de Pierre Huyghe (2011-2012)
We the People de Danh Vo (2011-2014)
Us Dead Talk Love d’Ed Atkins (2012)
https://www.youtube.com/watch?v=imGskKiC_Z8
APEX d’Arthur Jafa (2013)
How Not to Be Seen. A Fucking Didactic Educational. MOV File d’Hito Steyerl (2013)
Painting with History in a Room Filled with Men with Funny Names 3 de Korakrit Arunanondchai (2015)
Our Product de Pamela Rosenkranz (2015)
Emissary Trilogy d’Ian Cheng (2015-2017)
Anti-Brexit Campaign de Wolfgang Tillmans (2016)
Faust d’Anne Imhof (2017)
We Hold Where Study de Wu Tsang (2017)
Real Violence de Jordan Wolfson (2017)
Amos’World de Cécile B. Evans (2017-2018)
Comedian de Maurizio Cattelan (2019)
2 Lizards de Meriem Bennani (2020)
{"type":"Banniere-Basse"}