L’intégralité de la série danoise culte “The Killing” arrive sur Arte !

The Killing a imposé le genre du « Nordic noir » (ou « Scandinavian noir ») à l’écran à la fin des années 2000. Fiction policière extrêmement efficace et addictive, la série se divise en trois saisons : trois meurtres différents, trois enquêtes, un jour d’investigation par épisode et la même enquêtrice, Sarah Lund.

            {"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
          

Lancée en 2007, la série est un énorme succès au Danemark et dans toute l’Europe. Elle aura même le droit à son adaptation américaine sur Netflix, en 2011. D’un réalisme froid, The Killing est également une des premières séries à mettre en avant un personnage féminin, brillamment interprété par Sofie Gråbøl.

>> A lire aussi : “The Killing”, entre fascination et lourdeurs

Une histoire policière qui explore notre réalité

Série acclamée par la critique et multirécompensée, sa deuxième saison avait remporté la Nymphe d’or de la meilleure production européenne au Festival de télévision de Monte-Carlo de 2010 et le BAFTA Television Award 2011 de la meilleure série internationale.

“J’essaie d’être le plus universel possible en parlant de la société et de la culture occidentales. La guerre, le terrorisme et les peurs qu’il suscite sont des thèmes essentiels de notre époque. De surcroît, ils constituent un excellent ressort pour alimenter une enquête criminelle. Il y a un dicton qui dit ‘La première victime d’une guerre, c’est toujours la vérité’ [citation de Rudyard Kipling, ndlr] et j’avais envie de développer cette thèse. Une histoire policière se devrait toujours d’explorer la réalité dans laquelle nous vivons. Si elle omet de le faire, elle n’est pas pertinente”, expliquait son créateur Søren Sveistrup pour Arte Magazine, en 2011.

La série sera disponible sur Arte.tv du 25 juin jusqu’au 31 mars 2021 et sera diffusée intégralement tout l’été, du 2 juillet au 3 septembre, sur la chaîne de télévision Arte.

> A lire aussi : Que voir sur Arte en juin ?

>> A lire aussi : Charlize Theron : “J’ai vu ‘Portrait de la jeune fille en feu’ quatre fois”