Family is for sharing, titre du premier album de Brothers In Sound ? en fait une collection des trois maxis parus ces dernières saisons ? est un sacré mélange inter-racial et trans-générationnel d’influences ? de Stevie Wonder à Julian Cope en passant par The Meters, George Clinton, Devo, De La Soul ou Nick Drake ? […]
Family is for sharing, titre du premier album de Brothers In Sound ? en fait une collection des trois maxis parus ces dernières saisons ? est un sacré mélange inter-racial et trans-générationnel d’influences ? de Stevie Wonder à Julian Cope en passant par The Meters, George Clinton, Devo, De La Soul ou Nick Drake ? que l’on retrouve assurément éparpillé dans les replis et les tissus poreux de leur musique, laquelle est la plus vivante et insaisissable entendue cette année. Les Brothers In Sound ont su distiller élégamment ces sources vives en un canal fluide et éblouissant, préférant l’intuitif au récitatif, la mise en abyme psychédélique aux collages pop-art. Capables comme Syd Barrett ou New Order de faire tenir des mélodies bouleversantes sur un fil de funambule (Breathing, Scene from the boozer, un Mannequin déshabillé et acoustique), ils savent également opérer à des greffes totalement improbables et néanmoins subtiles tel ce Hey you où l’on croit entendre Grandmaster Flash produit par Brian Eno.
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