Mardi soir, à Lépanges-sur-Vologne, un drone survolant la maison autrefois habitée par la famille du petit Grégory Villemin, disparu en 1984, pour Netflix a été abattu.
Excédé par l’excitation médiatique suscitée par l’affaire Grégory, l’actuel propriétaire de la maison qu’occupaient les parents de l’enfant est passé à l’acte, muni d’une carabine. Selon Europe 1, il a, en effet, abattu, vers 23h30 mardi soir, le drone loué pour les besoins d’une série documentaire Netflix. La société de production disposait, en effet, d’une autorisation de survol de la région, mais pas de l’ancienne habitation des Villemin. La brigade des transports aériens de Strasbourg a donc ouvert une enquête.
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En avril dernier, Netflix avait annoncé la préparation d’une série documentaire retraçant l’affaire Grégory, qui selon eux constitue « l’un des plus gros cold cases (« affaire non résolue ») dans l’histoire française ». La scénarisation ainsi que la production de la tristement célèbre histoire avaient été confiées à Gilles Marchand.
L’affaire du petit Grégory défraye toujours autant la chronique. Non-élucidée, l’affaire continue à vivre de nombreux rebondissements, 34 ans après l’assassinat de l’enfant qui avait été découvert mort pieds et mains liés dans la rivière la Vologne. Depuis plus de trente ans, plusieurs membres de la famille continuent à être, tour à tour, mis examen.
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