Avec un album toujours aussi classe.
Peter Peter revient avec Noir Eden, un disque aussi profond que le précédent (Une version améliorée de la tristesse). Moins torturé toutefois, un peu plus kitsch mais toujours très juste, il ressuscite la synth-pop nineties avec classe et intensité, en nous faisant traverser des mondes différents. D’un court interlude instrumental (Fantôme de la nuit) à un tube archi cheesy (Nosferatu) en passant par une ballade guitare-voix (Pâle cristal bleu), Peter Peter mélange les genres et les émotions pour mieux nous laisser sans voix.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
La sienne, teintée d’un accent délicat (québécois), s’épanche sur l’amour, nous chuchote des histoires sensuelles (Allégresse) en rappellant la subtile maladresse du duo belge Vive La Fête. S’il a choisi de ne pas choisir entre la langue de Molière et celle de Shakespeare, Peter Peter n’a aucun mal à réunir les deux dans des morceaux comme Loving Game, slow qui se place dans le parfait héritage du Take My Breath away de Berlin. Version améliorée, bien sûr.
concerts le 12 février à Cognac, le 27 à Bruxelles, le 28 à Paris (Café de la Danse), le 22 mars à Genève, le 23 à Strasbourg (+ H-Burns)
{"type":"Banniere-Basse"}