» C’est la solution la plus économique, qui permet de se poser en sécurité, qui permet l’extraction rapide du président et de mieux gérer les heures de vol de l’équipage, affirme l’entourage d’Emmanuel Macron, le président n’est pas une personnalité comme tout le monde. Il y a un impératif de sécurité et un impératif de temps. «
Jeudi, Emmanuel Macron a fait usage de l’avion présidentiel pour un « saut de puce » de 113 kilomètres.
Si l’Etat « met un pognon de dingue dans les minima sociaux« , il n’en oublie pas pour autant les transports. Comme nous l’apprend BFM TV, Emmanuel Macron a utilisé, jeudi 14 juin, le Falcon présidentiel pour un trajet entre la Roche-sur-Yon (en Vendée) et Rochefort (en Charente-Maritime). Ce « saut de puce » (113 kilomètres) comme le qualifie la chaîne d’info en continu est jugé « légitime » par l’Élysée.
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Mercredi 13 avril, le président de la République a atterri depuis Paris sur le tarmac de Montpellier, où il devait prononcer un discours à l’occasion du 42e congrès de la Mutualité française. Puis quelques heures plus tard, il a repris son Falcon pour rejoindre la Vendée, à l’occasion d’un hommage à Georges Clémenceau, au cours duquel on a pu le voir disserter avec Philippe de Villiers.
« La solution la plus économique »
Jeudi, il a repris une nouvelle fois son avion pour gagner la Roche-sur-Yon et enfin Rochefort. Selon l’Élysée, il n’y a pas l’ombre d’un problème concernant l’établissement de cette feuille de route :
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