Cette semaine, le cool déambule le long d’un mag intersectionnel, avec une brodeuse féministe, derrière un masque dystopique et dans une esthétique postindustrielle.
Sous un masque anti-coronavirus Manifeste011
Quand Maud et Judith Pouzin, fondatrices du concept store vegan Manifeste011 dessinent un masque antipollution, elles ne se doutaient pas que son arrivée en boutique coïnciderait avec l’épidémie de Covid-19. Protecteur contre le virus, accordé à la mode dystopique actuelle, il en devient brûlant d’actualité.
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Le long de la couverture de Matto magazine
Fondée par Aldo Buscalferri et Dominika Hadelova en 2018, cette publication biannuelle met en lumière les rencontres et les intersections entre les sphères – design, architecture, mode et art contemporain – et les formats – essais, visites d’ateliers, interviews. Et célèbre l’objet tangible dans une culture dématérialisée.
Sur une broderie Lingua Franca
Selon le New Yorker, Rachelle Hruska MacPherson, à l’origine du projet Lingua Franca, serait la “Robin des bois” de la mode. Avec ses messages féministes brodés sur des pulls en cachemire à la production transparente, elle collabore avec des associations comme Time’s Up. Et infiltre ainsi les sphères du luxe, comme un cheval de Troie en fil de soie.
Dans une pièce Bureau de Stil
Le label franco-américain Bureau de Stil a été crée en 2020 par Ben Taverniti, à Los Angeles, avec la devise, “la simplicité est la solution à la complexité”. Inspirées par le brutalisme, les vidéos de cameras de surveillance, et une esthétique postindustrielle, les pièces sont épurées, luxueuses et hyper-contemporaine.
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