Sous le thème du « sabotage », l’événement aux multiples visages propose une édition 2018 singulière, tout en détente et virtuosité.
Cette année le Baleapop tient et tend à se démarquer du reste des festivals estivaux à travers ses programmations musicales et d’art contemporain, sa scénographie, mais aussi sa charte graphique, sa communication, et sa thématique principale : le « sabotage ». Un mantra assez énigmatique et intrigant qui transparaît au sein de tous ses éléments et qui a pour but « de détériorer volontairement l’image de Baleapop pour quitter le costume du premier de la classe et retrouver ses fondements. » Un mantra que l’on retrouve donc dans la programmation du festival, dont les premiers noms viennent d’être annoncés.
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En tête d’affiche sont conviés le fantasque Ariel Pink, le mystérieux Don’t Dj et sa house ésotérique, le projet inclassable The Mauskovic Dance Band, les hyperactifs Wolf Muller & Niklas Wandt, et Melenas, Jita Sensation, Satochi & Pam, ou encore Loisir. Tony Regazzoni, le lancement de la revue ADD et une installation de Nils Guadagnin représenteront l’art contemporain. Des premiers noms qui en appelleront d’autres, toujours sous le signe du « sabotage » et toujours à Saint-Jean de Luz, dans le pays basque, du 23 au 26 août.
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