L’une des ambitions les plus implicites des disques d’électronique minimaliste ou ambient est de parvenir à peindre des toiles musicales dans lesquelles l’auditeur se perdrait, hypnotisé, stupéfait : une sorte de dérèglement, de disqualification des sens.Des impressions oniriques qui surgissent du disque de Sogar, sorti récemment sur un nouveau label français adepte de minimalisme. Stengel […]
L’une des ambitions les plus implicites des disques d’électronique minimaliste ou ambient est de parvenir à peindre des toiles musicales dans lesquelles l’auditeur se perdrait, hypnotisé, stupéfait : une sorte de dérèglement, de disqualification des sens.
Des impressions oniriques qui surgissent du disque de Sogar, sorti récemment sur un nouveau label français adepte de minimalisme. Stengel est ainsi un disque d’atmosphères virales où flottent des parasites aux couleurs d’améthystes brisées : le frère jumeau du disque de Taylor Deupree, un compagnon idéal pour les fins de nuit solitaires, quelques minutes avant le lever du soleil.
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