Les gens qui savent le chuchotent à l’envi : la cote de Montréal à la Bourse des valeurs musicales mondiales ne cesse de grimper ? et Jean-Pierre Gaillard n’en peut mais’ Une excitante conjonction de manifestations (les festivals Mutek et MEG) et de jeunes talents participent à cet essor : ainsi Scott Monteith, alias Deadbeat, […]
Les gens qui savent le chuchotent à l’envi : la cote de Montréal à la Bourse des valeurs musicales mondiales ne cesse de grimper ? et Jean-Pierre Gaillard n’en peut mais’ Une excitante conjonction de manifestations (les festivals Mutek et MEG) et de jeunes talents participent à cet essor : ainsi Scott Monteith, alias Deadbeat, que son superbe Wild Life Documentaries autorise d’entrée à qualifier de révélation. Déversant plus d’une heure d’envoûtante musique de chanvre, autant complexe que fluide, cet album griffé procure un de ces plaisirs pulsatifs rares que l’on voudrait voir ne s’arrêter jamais.
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A l’évidence, Deadbeat ne pouvait trouver meilleur refuge que scape, très sélecte maison berlinoise tenue par Stefan Betke (Pole) et assidûment fréquentée par tous ceux qu’enivrent les troubles volutes du dub le plus (célestement) vagabond. Ceux-ci ? et les autres aussi ? feront bien de se précipiter illico presto vers le somptueux Organ in the Attic Sings the Blues, pure merveille comme on n’en entend pas dix dans une année.
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