Sur ce premier véritable album du groupe de Nottingham, l’air est saturé d’électricité, tendu jusqu’à l’explosion. Graham Langley, chanteur androgyne, psalmodie des incantations pleines d’ex-femmes et de voisins alcooliques contre d’occasionnels murs de son ? on croirait du Low agnostique, du Smog mort. Tout bat au ralenti dans ce disque, sauf le cœur de l’auditeur, […]
Sur ce premier véritable album du groupe de Nottingham, l’air est saturé d’électricité, tendu jusqu’à l’explosion. Graham Langley, chanteur androgyne, psalmodie des incantations pleines d’ex-femmes et de voisins alcooliques contre d’occasionnels murs de son ? on croirait du Low agnostique, du Smog mort. Tout bat au ralenti dans ce disque, sauf le cœur de l’auditeur, mollement brisé après une heure de foudroyants coups d’oreiller.
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