Hyperactif, l’Américain revient avec une collection d’expérimentations pop.
Peter Broderick dort-il parfois ? Après http://www. itstartshear.com, sublime album solo au nom étrange, et Wonders, écrit avec le pianiste Nils Frahm sous le pseudo d’Oliveray, sortis tous deux au printemps, l’Américain décidément stakhanoviste est déjà de retour avec These Walls of Mine.
Dialogue de voix autant qu’expérimentation des genres, la collection de chansons et de textes enregistrés çà et là voit Broderick livrer un nouvel aperçu intimiste de ses talents d’orfèvre de la pop de chambre. These Arms of Mine, chantait Otis Redding : les Walls de Peter sont encore plus accueillants.