La star de la techno pour stades revient avec un album nettement plus fin.
Grâce au succès de la BO de Berlin Calling, Paul Kalkbrenner, devenu star mondiale de la technosphère, a quitté le giron du label BPitch Control et créé sa propre écurie, sur laquelle il a sorti, en 2011, Icke Wieder, album mou du genou et bas du front, à l’écoute duquel on pouvait craindre le pire pour l’avenir.
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Le garçon semble bien s’être ressaisi et, sans faire avancer d’un click le schmilblick électronique, prouve qu’il n’a pas perdu la main avec Guten Tag, au profil plus avenant. La machine tourne parfois à vide mais ces dix-sept morceaux, alliant aisance mélodique et puissance rythmique, montrent Kalkbrenner sous son meilleur jour : radieux et dansant.
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