Exit l’angélisme, ce couple livre ici de vraies sucettes à l’acide.
Le virage dub amorcé sur certains morceaux de Lucifer aboutit logiquement à ce Lucifer in Dub et ses six pièces aussi énigmatiques que caverneuses, aussi toxiques que vaporeuses. Il faut dire qu’Aaron Coyes et Indra Dunis ont pour eux des références solides (Screamadelica de Primal Scream en tête), une passion évidente pour le minimalisme et surtout un catalogue de beats submergés qui donne à leur musique un faux air de soundsystem hypnotique.
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