Avec entre autres Calexico, un deuxième album comme une auberge espagnole. Critique et écoute.
Un refrain avec un ex-Giant Sand, une chanson en compagnie de trois Calexico et l’irruption de quelques talents aussi baroques qu’ibériques : la Catalane Amparo Sánchez, jadis initiée aux vertus du world-rock indie par Manu Chao, offre un deuxième album en solo foutraque comme on les goûte.
Quelques phrases susurrées en français, un déhanchement emprunté au reggae, la sensualité jazzy et un boléro de tradition cubaine se percutent dans une dramatisation et un sentimiento parfaitement romantiques.